Maîtresse Katana

 Je suis une larve, maso, qui reconnaît ses erreurs et qui souhaite ardemment s’améliorer,

Je suis puni aujourd’hui parce que je ne fais pas attention à ce que je fais, à ce que j’écris, comment je m’exprime et aussi pour ne pas toujours suivre à la lettre les ordres qui me sont donnés. Je dois apprendre à obéir à toutes personnes accréditées par mon Maître Michel, même si ces personnes sont des femmes, bien que je sois homosexuel. J’ai un besoin permanent de plaire à des ètres supérieurs, ce qui n’est pas toujours facile car mon comportement d’animal me rend esclave de moi-même. J’ai toujours été une larve, et j’ai connu beaucoup de Maîtres et certains ont toujours un œil sur moi ; j’ai jusqu’à ce jour, toujours tenté de trouver le Maître qui me conviendrait, le Maître que j’honorerais parce qu’il serait en mesure de me rendre dépendant de lui. Jusqu’à ce jour, seul Maître Michel a su me diriger et m’obliger à lui obéir du fait de son charisme important, et ceci malgré qu’il soit marié ce qui rend la situation  très difficile et que je ne peux pas toujours le voir comme je le voudrais. Je connais Maître Michel depuis maintenant 8 ans et je le vénère car il est un personnage qui sait m’imposer sa volonté et que je suis incapable de m’opposer à lui. Pourtant je lui ai demandé si je pouvais rechercher de nouveaux Maîtres réellement sadiques car il est très difficile d’avoir une relation Maitre-maso suivi du fait de son couple. Il a accepté et reste mon Maître par intérim quand je n’ai pas de Maître. Lorsque j’en trouve un et que je suis à l’essai, je ne le vois plus mais quand je me retrouve à nouveau seul, il est là pour moi et je le respecte énormément pour cela…

Je suis une larve incapable de jouir sans ordre d’un Maître et çà me rend parfois très malheureux parce que, bien que j’ai envie, je n’y arrive pas. Mon Maître m’a interdit de prononcer le mot JOUIR et je dois dire EVACUER MES DECHETS. Mon Maître qui a décidé cela, l’a fait parce qu’il considère que je ne suis qu’une salope qui se comporte sans cesse comme un animal lorsque je suis en chaleur. Il m’a fait ouvrir un blog l’année dernière pour m’humilier en étant obligé d’exposer tout ce que je subis en punitions ; ceci en mettant des photos de la larve que je suis et en racontant ce que j’ai subi. Pour lui je suis près à tout ça et je le fais car je le respecte comme le male supérieur qu’il est.

Régulièrement, il m’envoie vers d’autres Maîtres qui, suivant ses instructions, me gardent avec eux de longues heures et il m’envoie aussi en stage chez certains d’entre eux pour me punir lorsque j’ai fais de réelles fautes graves ou que je n’ai pas obéi comme il me l’a ordonné. J’accepte tout de lui parce qu’il a menacé plusieurs fois de rompre le contact plusieurs mois si cela était nécessaire ; une fois il est resté quatre semaines sans donner le moindre signe de vie et j’ai cru que j’allais devenir complètement fou parce que je n’avais plus personne pour m’ordonner d’évacuer mes déchets. Alors maintenant je suis prêt à tout.

Lorsque j’ai été envoyé en stage en province l’été dernier, j’ai reçu ordre de prendre le train pour Tours. Pour y aller, je devais être vêtu le plus légèrement possible c’est à dire t-shirt blanc, short noir en nylon sans le slip intérieur qui avait été enlevé par mon Maître, et baskets sans chaussettes. Aux seins, deux petites pinces crocodiles et cul pluggué. Dans le train, je devais déambuler dans les couloirs afin que chacun puisse me voir. J’étais mort de honte car mes testicules arrivaient à ras de mon short et j’étais certain que des gens les voyaient ; puis je devais ensuite aller au bar prendre une boisson et m’asseoir sur un des tabourets, cuisses largement ouvertes tournées vers le public. Personne ne pouvait rater le spectacle de mes testicules apparents. Pour tout ceci, je sais que certaines personnes penseront que rien ne m’obligeait à le faire mais la fois précédente, mon Maître avait envoyé une autre larve dans le même train et elle avait été chargée de contrôler que je faisais bien tout ce qui m’avait été ordonné. Mon Maître me l’avait prouvé en relatant les détails que l’autre larve lui avait rapporté. Je me suis rendu compte à quel point j’avais bien fait de suivre ses ordres à la lettre. Arrivé à destination, je devais attendre debout sur le parking de la gare, mains dans le dos, que le Maître qui me prenait en stage se manifeste. Trente minutes plus tard, une camionnette aux vitres teintées s’est arrêtée à une place de parking libre ; un homme en est descendu et s’est dirigé vers moi et m’a donné un code qui me permettait de l’identifier. A partir du moment ou j’avais reconnu ce code je devenais la propriété de cette personne pour la durée du stage. L’homme m’a fait monter par l’arrière du véhicule et il est monté avec moi. Là, il m’a fait mettre nu et m’a attaché en croix à des anneaux fixés au sol et au plafond de la camionnette. Par les vitres je pouvais voir dehors et j’avais le sentiment que tout le monde pouvait me voir. Une cagoule intégrale m’a été mise en place par l’inconnu , il a ôté mon plug             et je l ai senti qui graissait ma chatte de larve. Je pensais qu’il allait me prendre mais en fait, il a introduit un pieu dans ma chatte ; ce pieu a ensuite été fixé au sol et je me retrouvais ainsi empalé, bras et jambes en croix. Puis l’homme a démarré et a commencé un long calvaire pour moi car a chaque mouvement de la camionnette, mon corps bougeait sur le pieu, à chaque secousse, je m’empalais brusquement un peu plus. Je pensais tout à coup à mon Maître, combien il me manquait et combien je regrettais de ne pas m’être comporte correctement avec lui. Mais je me rendais compte aussi que j’étais prêt a accepter toutes les souffrances qui me seraient infligées parce que c’est comme çà lorsque l’on se sait dépendant d’un male supérieur.

Et ceci ne faisait que commencer……..la camionnette a roulé un temps fou qui m’a paru démesurément long, tant je sentais ma chatte s’élargir au gré des virages à droite et à gauche, ce qui faisais comme si le pieu faisait office de moulinet dans mon trou de lope.

La camionnette a fini par arriver a destination et je suis resté ainsi de longues minutes a attendre ne sachant pas ce que j’allais devenir, quel était le sort qui m’était réservé. Puis la porte s’est ouverte et j’ai été libéré de mes liens sans toutefois être libère de ma cagoule. J’ai été dirigé vers un endroit que je n’arrivais pas a discerner et puis la, j’ai été allongé sur le sol à plat ventre et j ai senti que j’étais allongé sur l’herbe. Mes bras ont ensuite été entravés dans mon dos au niveau des coudes et mes poignets également. Ce fût ensuite le tour de mes chevilles d’être prises dans ce qui devait être des chaussures ou plutôt des rangers ou similaires. J’entendais un bruit de chaînes qui se déroule puis a un moment mon corps a commencé à se soulever jusqu’à ce que je ne touche plus terre. Et a ce moment là, ma cagoule a été enlevée ; c’est alors que je me suis rendu compte que j’étais suspendu par les pieds à une potence et que sous moi, un trou de la grosseur de mon corps avait été creusé sur un bon mètre de profondeur. Le Maître m’a mis des pinces aux seins en y accrochant des poids puis a commence a me faire descendre la tète la première dans le trou ; j’étais paniqué je dois bien le reconnaître et je ne pouvais me débattre du fait que le trou était juste à ma taille. Plus mon corps descendait, plus je sentais une douce torpeur m’envahir, je me sentais planer et c’est la que je me suis aperçu que des joints se consumaient au fond du trou et que des cotons imbibés de popper’s étaient déposés au fond aussi. A nouveau je me suis pris à penser à mon Maître Michel, espérant qu’il imaginait ou savait ce que je devrai subir. Mon corps s’est arrête de descendre lorsque mes fesses sont arrivées juste au niveau du sol ; j’étais à moitié enterré et mon corps, envahi par les vapeurs commençait à se relâcher et à réclamer du sexe. Je me suis mis à remuer dans mes liens ; mon corps demandait à ce qu’on s’occupe de lui et comme s’il avait été entendu, une main a entrepris de me graisser la chatte et à la malaxer méthodiquement. Sous l’emprise des vapeurs, ma chatte se dilatait et s’ouvrait de plus en plus et dans mon délire, j’avais l’impression que je n’avais plus de fesses mais que je n’avais plus qu’un trou béant immensément dilaté. Je rugissais comme un fauve dans mon trou,  envahit par les vapeurs ç je hurlais que cela continu malgré mes craintes et mon angoisse. Je ne pouvais me retenir de m’exprimer, le Maître faisant en sorte que je me comporte comme un chien en rut.  Je ne distinguais aucun son ; le massage s’est arrêté brusquement puis j’ai été remonté d’une cinquantaine de centimètres afin de me faire respirer de l’air pur sans doute. Puis plus rien ; la pensée de mon Maître était omniprésente et c’est dans ces moments là qu’on se rend compte que l’on est prêt à tout pour ce Maître que l’on vénère. Tout à coup le massage de ma chatte a repris et j’ai été redescendu  au fond du trou. De nouvelles herbes venaient d’être jetées dedans et mon corps est devenu comme fou ; je n’avais plus de fesses, plus de chatte plus rien. Seul le haut de mon corps semblait me répondre et tout à coup, j’ai ressenti comme une jouissance intérieure extrême ; un énorme god  en acier très lourd avait été mis en place dans ma chatte, si lourd que je le sentais arriver dans mon ventre.  J’étais complètement en transe et tellement prêt à tout……………….De longues minutes se sont écoulées puis j’ai enfin été ramené à l’air libre avec toujours le god en place. La cagoule m’a été remise sur la tète puis lentement, l’effet des vapeurs se dissipait et de plus en plus je ressentais mes fesses, ma chatte de larve puis une douleur fulgurante lorsque j ai senti le god m’écartelant et je me suis mis à hurler et pousser des cris rauques comme un animal blessé. Mais le Maître m’a laissé ainsi de longues minutes à beugler comme un animal fou et terrorisé. Tout le week-end s’est déroulé ainsi, dans des souffrance diverses et variées qu e le Maître ne cessait de mettre sur la volonté de mon Maître Michel. Je savais que je devais tout accepter faute de quoi, j’étais assuré d’amèrement le regretter.

Une autre fois, mon Maître m’a remis entre les mains d’une autre larve qui en avait fait la demande parce qu’elle s’était bien comportée et mon Maître lui accordait une récompense. Cette larve voulait à son tour se défouler sur une autre larve et j’ai été obligé d’obéir à cette larve, humiliation suprême. Je l’ai reçue dans ma cellule. Nu j’ai été contraint de lui faire des fellations puis de lui donner ma chatte ; je devais être le plus docile possible suivant les instructions de mon Maître. Alors j’ai souffert ne silence en acceptant tout de cette larve. Après m’avoir sodomisé, cette larve s’est assise sur le tabouret et ‘a forcé à me goder devant elle et à me masturber ; j’étais mort de honte bien sure mais que faire d’autre que d’obéir ? La pensée de mon Maître seule m’obsédait,  je restais focalisé sur le fait qu’il devait être fier de moi et que j’étais capable de tout pour lui.  La larve m’a ensuite fait endosser un harnais, puis m’a posé des pinces aux seins et m’a pluggué. Elle m’a ensuite donné l’ordre de me mettre en tenue pour sortir ; fausses jambes de jeans, baskets, et veste de pluie, laissant ainsi mes attributs sexuels et mes fesses à l’air. La nuit venait de tomber, çà me rassurait un peu, on risquait moins de voir quelque chose. L’autre larve me faisait marcher devant elle, me donnant la direction à suivre puis dans certaines rues pas trop fréquentées, elle m’ordonnait  de me mettre à genoux entre deux voitures, d’ouvrir ma veste et de me masturber jusqu’à ce qu’elle me dise d’arrêter. Puis le circuit reprenait et je devais aussi me mettre à quatre pattes entre des voitures en me masturbant. Mes fesses nues apparaissaient automatiquement et le risque que des passants arrivent était grand tout comme celui de voir une fenêtre s’ouvrir juste au-dessus de nous. Puis l’autre larve m’a emmené dans un bar gay ou elle m’a fait mettre complètement nue, à genoux à ses pieds, au pied du bar : j’étais tétanisé de honte mais je devais obéir ; et là encore je ressentais l’emprise que mon Maître a sur moi ; à son ordre, j’ai dut me mettre à quatre pattes au pied du bar, bien cambré sans bouger, ma chatte pluguée à la vue de tous, et mon harnais sur le dos. La larve s’est ensuite absentée dans le bar en m’ayant donné l’ordre de ne pas bouger. J’attendais ainsi depuis dix bonnes minutes quand j’ai senti des mains me caresser les fesses puis descendre sur mes testicules et les empoignées : je n’osais pas bouger d’un pouce et à ce moment là, la personne qui me tenait les testicules m’a ordonné de me relever et à ma grande stupéfaction, c’était Maître Michel qui était là et qui m’a félicité pour mon obéissance et ma dévotion..

J’étais fou de joie et honteux en même temps mais c’était une sensation tellement bonne d’être avec son Maître que plus rien ne compte quand c’est comme cela. C’est pour vivre ces moments là qu’une larve telle que moi est prête à tout. Mon Maître m’a demandé si je voulais évacuer mes déchets en récompense, je lui ai répondu que oui et je me suis mis automatiquement à genoux pour le supplier de me l’accorder ; il a dit oui mais à une condition, que je le fasse à genoux là devant tout le monde sans quoi j’attendrais encore quatre semaines avant de pouvoir redemander cette autorisation ; alors la salope que je suis à accepter cette condition et à genoux, s’est masturbée devant le bar, j’étais trop heureux d’avoir cette autorisation qui me permettait d’éjaculer. J’ai ainsi évacué mes déchets devant tout le monde comme l’animal que je suis ; bien sure tout le monde regardait mais je n’avais d’autre choix que de le faire.

J’ai tenté par ce récit Maîtresse  Katana de vous montrer à quel point une larve est prête à tout accepter dès l’instant qu’elle se sente dépendante de son Maître. Je vous remercie de cette punition Maîtresse qui m’a à nouveau fait prendre conscience quelle larve je suis.

La larve