Dimanche 3 juin
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14:51
Nous sommes aujourd'hui le 3 juin 2007 et je viens de recevoir l'ordre de mon nouveau Maitre de créer un nouveau blog afin qu'il puisse
suivre mon évolution, ma progression soous ses directives dans la poursuite de mon dressage.
Je ne suis pas autorisé à divulguer qui il est pour le moment ni autorisé à dévoiler son adresse émail.
Je suis une larve maso de 42 ans, 1,75m pour 72kg, imberbe, cul et chatte rasée, seins très développés, yeux bleus, cheveux chatain.
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Le Maître tire brutalement sur la cordelette attachée aux couilles de son esclave en criant « Viens ici salope, j’ai une grosse envie de pisser ». L’esclave comprend immédiatement l’horrible humiliation dégradante que le Maître veut lui faire subir. Il gémit « Pitié, Maître, pitié, pas ça, pas la pisse, je ne pourrai jamais supporter ça ». Il voudrait s’enfuir mais il ne peut pas résister à la douloureuse traction de la cordelette sur ses couilles. Il est obligé d’obéir et d’avancer vers son maître avec sa drôle de démarche. En effet, c’est une règle absolue, l’esclave toujours entièrement nu doit en permanence se tenir avec les jambes et les cuisses largement écartées, le ventre tendu en avant et les mains croisées derrière le dos quand elles ne sont pas attachées ou occupées à autre choses sur ordre du maître. Ainsi ses couilles sont toujours bien visibles et exposées sans défense à tous les caprices sadiques du Maître. Si par malheur pour lui l’esclave oublie un instant ce règlement, s’il cherche à cacher ou à protéger ses couilles alors il est conduit immédiatement en salle de tortures. Il va y subir une séance de supplices pour un sévère rappel à l’ordre dont ses couilles se souviendront longtemps.
Tiré par les couilles il fait donc quelques pas en direction de son Maître. Quand il se trouve à bonne distance il reçoit un bon coup de genou dans les couilles. Au moment où le Maître lance son genou il tire vicieusement sur la cordelette pour empêcher toute esquive. Le choc est d'une violence extrême. Dans un hoquet de douleur l'esclave s’écroule à genoux en gardant tant bien que mal les cuisses écartées et les mains derrière le dos. La peur de la salle de torture est efficace !
Sans lui laisser le temps de récupérer le Maître lui shoote un coup de pied dans les couilles en criant « Ouvre la bouche, salope ». Si ses couilles n’étaient pas attachées elles remonteraient jusque dans sa gorge. Comme elles sont retenues par la cordelette elles encaissent le choc de plein fouet. C’est une explosion de douleur dans le bas ventre et qui irradie tout le corps. Au bord de l’évanouissement, l’esclave essaie de mettre fin à cette torture en suppliant, en se soumettant totalement et en s’humiliant :
« Pitié, Maître, pitié. J’ouvre la bouche, je fais tout ce que tu veux, tu peux pisser tant que tu veux. Pitié, je vais boire toute ta pisse, je serai ta pissotière aussi souvent que tu en auras envie. Pitié, pitié, fait tout ce que tu veux. Pisse, Maître, pisse. »
Le Maître est enchanté, c’est exactement cette soumission et cette humiliation qu’il voulait obtenir. Mais cela ne l’empêche pas de balancer un nouveau coup de pied bien placé dans les couilles sous un prétexte quelconque : « Ouvre la bouche mieux que ça, sale enculé » Ou même sans aucune raison, juste pour le plaisir du coup de pied bien placé. D’ailleurs, sur le mur, il a affiché un poster avec ce texte écrit en grosses lettres : « Proverbe chinois : Un bon coup de pied dans les testicules n’a jamais fait de mal à celui qui le donne ! ». Et de sa main, il a rajouté « Surtout s’il prend la précaution de porter de bonnes chaussures pour bien protéger ses orteils ! ».
L’esclave continue de supplier et de s’humilier « Pitié, pitié, fait tout ce que tu veux. Pisse, Maître, pisse. ».
Le Maître répond « Tu vois, salope, tu finis toujours par m’obéir. Ça ne sert à rien de résister. La prochaine fois tu viendras de toi-même te mettre à genoux devant moi, bouche ouverte. Cela t’évitera quelques coups de pied dans les couilles, enfin, peut-être … À toi de voir ce que tu préfères. Moi, ça ne me dérange pas d’être obligé de te forcer à obéir. J’aime bien shooter dans tes couilles, comme ça ! Prends ça, salope ! ».
Alors, en ricanant, Le Maître glisse sa bite dans la bouche de l’esclave « Tiens, salope, puisque c’est toi qui le demande … ». Évidemment après cette longue préparation et avec la douce tiédeur humide de la bouche de l’esclave le Maître bande comme un taureau « Regarde, salope, tu me fais bander. Je suis sûr que tu le fais exprès pour m’empêcher de pisser. Tu vas voir tes couilles ! Mais en attendant suce-moi pour faire passer ça. Allez salope suce. »
L’esclave obéit immédiatement. D’abord il a été dressé sévèrement pour sucer la bite de son Maître à la moindre demande. Et puis il a progressivement remarqué que, pendant qu’il suce, ses couilles subissent moins de tortures. À part les étirements en saccades de ses couilles par la cordelette que le Maître utilise pour lui donner le rythme de succion qu’il désire. C’est douloureux mais moins que d’autres tortures habituelles. Enfin, il aussi remarqué que, après avoir joui dans sa bouche, le Maître devient moins agressif, moins sadique. Cela ne dure pas très longtemps mais c’est toujours bon à prendre quand on est un esclave torturé à la moindre occasion. Le Maître est tellement excité que l’esclave reçoit rapidement sa giclée de sperme, à avaler sans en perdre une seule goutte.
Mais aussitôt le Maître gueule « Tu ne m’as bien sucé, salope. J’ai senti tes dents sur ma bite, tu sais pourtant que je n’aime pas ça. Tu as oublié ce que je t’ai appris. Quand tu me suces je veux que tu trouves un moment pour lécher et sucer délicatement mes couilles. Je veux que tu n’oublies pas de lécher mon cul profondément en insistant bien sur le trou du cul. Je vais encore être obligé d’inscrire ça dans le cahier des punitions à faire ce soir avant le coucher. C’est fatiguant de toujours être obligé de te punir pour obtenir un comportement normal d’esclave soumis ».
Évidemment, en étant à genoux devant son Maître, l’esclave ne pouvait matériellement pas lui lécher le cul. Mais, tant pis pour lui, il sera puni quand même.
Le Maître peut enfin se soulager et pisser longuement dans la bouche de son esclave-pissotière. Le goût de la pisse envahi l’esclave qui boit son humiliation.
Il y a plusieurs manières de pisser.
maitre j
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J e suis une lope a jus a dresser.. sous contrat et mon Maitre a des moyens de pressiond e chantage sur moi tres réel..
Sur mon groupe il y a photos d emoi avec ma gueule de batard.; avec blog etc..
A vous lire Maitres et lopes....
Bonjour
J'aime beaucoup ton site.
:)
Je peux mettre un lien vers ton blog?
Peut-etre que tu aimeras aussi le mien, et surtout la cause qu'il defend: "sauver l'amour dans les couples gay"
Tu peux aussi ajouter un lienvers mon blog si tu veux:
http://www.restoringlove.com
N'hesite pas à me donner ton opinion et ton fedback car je suis un débutant.
:)
Kisses and Hughs
Erik
d'abord grandes et respectueuses felicitations a ton Maitre dont la severite mais aussi la comprehension demontrent sa competence et son caractere
mais aussi admiration pour ton courage et ta determination
J'aime mon mon Maitre Mulato qui est a Rio de Janeiro mais il n'est pas aussi severe ni aussi dur que le tien . pas plus que je l'avoue bien humblement je ne sens pas encore capable de subir de tels tourments
ton exemple m'inspire la volonte de m'ameliorer et de supporter mieux les punitions de mon Maitre
Et puisque ton Maitre souhaite des suggestions ... je crois devoir lui suggerer tres humblement et avec tout le respect qui lui est du , qu'il t'impose , hors les punitions habituelles trop sporadiques , le port de CB 3000 en permanence : c'est - et j'en sais quelque chose - le plus terrible moyen pour le Maitre de s'assurer l'obeissance et la servitude la plus absolue Car être ainsi a sa totale bonne volonte pour evacuer les dechets de la lope ,qui demeure sans meme la possibilite de se toucher decuple l'envie irresistible et mene a faire les plus grandes prouesses pour obtenir l'autorisation enfin d'exploser !
Un Master qui te veux du bien ...